néo the one en couple


D'autres scènes courantes sont d'inspiration religieuse : on trouve des scènes de culte rendu à une divinité, parfois assise sur un trône dans la plus pure tradition mésopotamienne, mais aussi des scènes mythologiques représentant une divinité en train de combattre, ou encore des scènes de vénération d'un arbre sacré par des génies similaires à celles des bas-reliefs des palais. Elle est cultivée en jachère biennale. Celui de Kanesh est le plus important d'Anatolie, dirigeant les autres comptoirs[39]. sont par la suite les émules. La décoration des palais royaux consistait en de longs bas-reliefs sculptés sur des orthostates. Ils sont chargés d'identifier et d'interpréter pour le souverain les intentions et volontés divines qui président à la destinée du royaume, et à le protéger par des procédés magiques : ils constituent donc une sorte de garde royale agissant contre les forces surnaturelles. « Ne crains rien, Assarhaddon, roi du pays ! Tentative de reconstitution de la citadelle principale de Dur-Sharrukin avec le palais royal de Sargon II et divers édifices religieux. Une fois les royaumes araméens définitivement éliminés après le règne de Sargon II à la fin du VIIIe siècle, cette population est progressivement intégrée, l'administration royale comprenant de plus en plus d'Araméens, jusqu'à la famille royale avec la reine Naqi'a/Zakutu, tandis que les déportations amènent un plus grand nombre d'Araméens en Haute Mésopotamie et jusqu'en Assyrie même. Leur présence à la cour augmente sous les derniers Sargonides, ce qui ne doit pas pour autant les faire considérer comme un groupe disposant d'une grande influence sur le roi, car il existe diverses factions, et que les disgrâces sont courantes[124]. Les pluies sont surtout concentrées en hiver là aussi. Ils disposaient dès les débuts de la période néo-assyrienne de béliers de 5 à 6 mètres de long montés dans des tours mobiles dans lesquelles se positionnaient des archers qui pouvaient le cas échéant investir les murailles adverses. Les problèmes s'accentuent sous les Sargonides, puisque les trois derniers héritiers désignés devenus rois font tous face à des guerres fratricides, et que ce sont les troubles successoraux entre deux fils d'Assurbanipal qui mènent en partie à la chute de l'Assyrie. Selon le prologue historique du traité passé entre un roi hittite et un roi du Mittani au XIVe siècle, Assur a été prise et pillée par le roi mittanien Shaushtatar (années 1440-1430). Cela reste très important dans la vie du royaume puisque les actes administratifs étaient datés suivant la formule « limmu + nom de l'éponyme de l'année », et non pas par un dénombrement des années de règne du souverain comme en Babylonie. Assur prend une dimension de plus en plus importante au fur et à mesure que son royaume grandit, jusqu'à devenir une sorte de « divinité impérialiste ». Le Zagros est aussi un terrain de campagnes pour les Assyriens. Du reste, les mouvements de produits à longue distance sont réservés à une élite restreinte, quel que soit le moyen par lequel ils transitent, et c'est souvent le palais ou son entourage qui les captent, avec ensuite la possibilité de les redistribuer. La religion assyrienne reprend les aspects traditionnels de la religion mésopotamienne, et elle s'inspire constamment au cours de son histoire de la religion de la Mésopotamie méridionale. Afin de connaître les volontés divines, il est donc entouré de devins, qui procèdent à des rituels divinatoires, ou bien observent les présages, notamment astrologiques, et il se tient au courant des vaticinations des prophètes de certaines divinités comme Ishtar d'Arbèles. Le roi doit aussi participer à plusieurs autres cérémonies religieuses. Many neo-Victorian novels have reinterpreted, reproduced and rewritten Victorian culture. Il lance ensuite des attaques dans toutes les directions, et finit par mener une campagne victorieuse contre Babylone. Après la victoire, les habitants des régions qui s'étaient opposées à l'autorité assyrienne pouvaient subir des supplices terribles que les souverains assyriens ont fait relater et représenter longuement et avec beaucoup de détails dans leurs Annales et sur les bas-reliefs de leurs palais. Parmi les bois, le cèdre des montagnes du Liban ou de Syrie est très prisé par le pouvoir royal. Bateau transportant des cèdres du Liban, détail d'un bas-relief du palais de Sargon II à Dur-Sharrukin, Musée du Louvre. Schématiquement, durant la première période, l'Assyrie se résume à la cité-État d'Assur, connue surtout par le dynamisme de ses marchands. Dans les grands domaines, il s'agit souvent d'un service militaire pris en charge par le propriétaire qui lève et équipe ses troupes parmi les dépendants (ušbūtu, littéralement « résidents ») qui y travaillent pour son compte. D'abord les terres dépendant directement du pouvoir royal, gérées depuis le palais, qui joue un rôle crucial en tant qu'institution économique. Assur-resh-ishi Ier (1132-1115) réussit quelques campagnes victorieuses dans le Zagros, contre Babylone, et aussi face à des nouveaux ennemis, les nomades Ahlamû[57]. J.-C., et fondant par là même une nouvelle dynastie. Le poids des mobilisations pour l'armée, des taxes et des corvées ont également pu jouer un rôle dans l'évolution des sociétés, en rendant plus vulnérables les sujets assyriens qui y étaient soumis. On trouve également le vizir (šukkallu), le grand échanson (rab šaqē), le grand intendant (mašennu), le héraut du palais (nāgiru ekalli), le chef des eunuques (rab rēšē) et le majordome du palais (ša pān ekalli), qui gère l'administration du palais royal. À Nemad-Ishtar, en zone d'agriculture sèche, on trouve des rendements de 1/9 à 1/7,3, tandis qu'en région d'agriculture irriguée à Tell Sabi Abyad le rendement moyen semble être de 1/7,35 et à Dur-Katlimmu de 1/3 (mais on remarque des variations de 1/1 à 1/9 selon les champs). Le néo-pro Laurenz Rex bientôt dans le grand bain : "J'en rêve depuis mes 10 ans" Cyclisme: dans la roue de Marvin Tasset et Tom Hamelryckx avec leur nouvelle équipe … Le roi attribue ainsi de nombreuses terres à des individus qui lui ont rendu des services ou bien aux temples, et octroie aussi des exemptions de taxes et de corvées[195]. Les exorcistes qui mènent le rituel ont alors recours à un procédé de substitution courant dans la magie mésopotamienne : on transfère le mal sur un individu qui est fictivement intronisé, alors que le roi devient un « laboureur », c'est-à-dire un simple mortel. L'Assyrie même s'ouvre aux influences extérieures, visibles dans l'art ou l'architecture. (...), La vision assyrienne : tribut, massacres et déportations en Anatolie orientale sous. Représentation des jardins royaux de Ninive, d'après un bas-relief du palais de Sennachérib. Les sols, bruns ou rouges, sont potentiellement bien fertiles, mais il faut pour cela que l'eau soit disponible, et c'est cette question qui est cruciale pour comprendre les enjeux de l'agriculture dans la région[198]. Liste lexicale de synonymes sumérien/akkadien. Ce commerce s'épanouit tout le long du XIXe siècle av. Les terres agricoles de la période médio-assyrienne peuvent être classées en plusieurs catégories suivant leur mode d'exploitation[206]. Des légendes écrites complètent ces représentations. Les fouilles accomplies sur plusieurs de ces sites, avant tout les grandes capitales, mais aussi les centres administratifs provinciaux, ont permis la mise au jour d'un nombre considérable de tablettes d'argile inscrites en cunéiforme qui ont permis de connaître de nombreux aspects de la vie des anciens Assyriens[14]. C'est lui qui donne le nom à l'année durant laquelle il exerce cette fonction, raison pour laquelle on parle souvent de lui comme « éponyme (de l'année) »[32]. Serviteurs portant une banquette, un siège et un vase. J.-C. et qui ont fourni une abondante documentation cunéiforme[11]. La culture assyrienne présente pourtant des spécificités, dues notamment aux héritages des traditions de Haute Mésopotamie qui sont distinctes de celle de la Basse Mésopotamie malgré l'influence prépondérante de cette dernière à toutes les périodes, tandis qu'on remarque des emprunts croissants aux peuples soumis par le royaume assyrien. Ce dernier gère depuis le centre fortifié de l'exploitation (dunnu) près de 900 dépendants répartis dans plusieurs villages ou hameaux. Plus largement, il semble bien que le roi ait disposé d'une propriété éminente sur toutes les terres du royaume, peut-être au nom du dieu Assur[207]. Plus on est proche du pouvoir, plus on occupe un rang élevé dans la société. Ce qui est le plus remarquable, au-delà de cette opulence d'autant plus frappante qu'il s'agit de reines de second rang, c'est la qualité d'exécution et la beauté des objets alliant des matériaux de couleurs différentes pour un rendu visuel harmonieux. L'armée néo-assyrienne inclut des corps issus de groupes nomades, comme les Ituéens qui servent pour les missions de patrouille. La zone de transition entre les deux espaces est en fait fluctuante selon les années, ce qui fait que l'agriculture est soumise à de nombreux aléas dans une bonne partie de la frange méridionale de la Haute Mésopotamie, notamment la région appelée basse Djézireh, entre Tigre et Euphrate, où les pluies ne surviennent qu'en hiver, la sécheresse empêchant la culture non irriguée le reste de l'année et réduisant la plaine à l'état de steppe. ; Logique. Après la chute de l'empire, ce sont des tribus arabes qui s'installent de plus en plus dans la région du Moyen-Euphrate, qui est parfois appelée « Arabie » dans les textes d'auteurs grecs[178],[180]. De plus, cette terminologie reflète également la volonté d'accueillir dans l'empire des gens qui ne sont pas des Assyriens au sens ethnique du terme, mais qui occupent une place croissante aussi bien dans les villes que dans les campagnes du centre du royaume à la suite des nombreuses déportations organisées par les rois néo-assyriens, et qui tendent à accroître la diversité ethno-linguistique de cette région, et à entraîner l'« aramaïsation » progressive de la population de la Haute Mésopotamie[175]. Les Araméens fondent des principautés à partir de certains sites de la Djézireh comme Guzana (Tell Halaf). In September 2007, The University of Exeter explored the phenomenon in a major international conference titled Neo-Victorianism: The Politics and Aesthetics of Appropriation. La Ville se réunit en assemblée (puḫrum), apparemment devant le temple du dieu Assur[29]. La grande fête-akītu, originaire de Basse Mésopotamie, est accomplie en plusieurs lieux de l'Assyrie, comme Arbèles, Ninive, Harran ou encore Assur, où elle est dédiée à la divinité tutélaire du lieu. Un cas particulier parmi les sites nous documentant sur les Assyriens est Kültepe, situé en Turquie loin du centre de l'Assyrie, où ont été dégagées après 1924 les résidences de marchands d'Assur installés sur place au début du IIe millénaire av. Cela confirme bien le fait que ces fonds de textes aient été constitués dans un but essentiellement religieux, surtout pour pouvoir assurer les relations entre le roi et le monde divin grâce à un groupe de prêtres suffisamment bien formés pour pouvoir s'acquitter de cette tâche jugée cruciale pour la survie du royaume. Sans rival à sa taille, ce royaume dépasse alors les cadres territoriaux qu'il avait à son apogée au XIIIe siècle pour devenir un véritable empire dominant tout le Moyen-Orient au VIIe siècle. Le prince héritier dispose alors d'un rang particulier, notamment sous les Sargonides[111]. Ainsi, dans les palais de Ninive, Sennachérib fait représenter la sculpture et l'acheminement des taureaux androcéphales ailés de son palais, commémorant son œuvre de bâtisseur. Une telle activité serait normalement impossible si Assur était toujours vassale du Mittani, et cet acte témoignerait donc de l'affaiblissement ou de l'arrêt de l'emprise mittanienne en Assyrie. Leur place tend à dépendre entièrement de la volonté royale[121]. Finalement, l'agriculture de l'Assyrie est plus extensive et donc moins productive que celle de Basse Mésopotamie, malgré une possible augmentation de la production au cours de la période néo-assyrienne, essentiellement par l'extension des terres et de l'irrigation[220]. De plus, très peu de réalisations artistiques des périodes paléo- et médio-assyriennes sont connues car seul le site d'Assur présente une documentation archéologique importante pour cette période[293], alors qu'à Kültepe la culture matérielle des résidences des marchands assyriens est de type anatolien, seuls leurs sceaux-cylindres pouvant être caractérisés d'assyriens[294]. Mais l'histoire et l'organisation du Mittani restant mal connues, on ne peut pas très bien connaître la place d'Assur par rapport à cet ensemble politique, quoi qu'il en soit la documentation assyrienne de l'époque ne porte pas de trace de cette domination, peut-être parce qu'elle se ressent peu dans les affaires locales. Il dispose de lieux de culte dans des centres religieux secondaires comme Kurba'il, Kilizi et aussi Guzana[267]. « Je fis fondre et j'installai dans cette ville (, « À cette époque la « Maison-montagne des pays » (é-hursag-kurkurra), le temple ancien, qu', Inscription commémorant la reconstruction du temple du dieu. Pour cette période comme pour la précédente, c'est la position dans et par rapport à l'administration royale qui détermine le mieux la place dans la société. Les Assyriens ont rapidement mis au point une armée bien organisée, très entraînée (les campagnes étant souvent annuelles), encadrée par des troupes d'élite constituées autour de la noblesse du royaume. British Museum. La Liste royale assyrienne, texte rédigé à partir des alentours du XVIIIe siècle, complété jusqu'à la fin du royaume assyrien et censé donner la liste des rois de cet État depuis ses origines[25], débute par l'énumération de « rois vivant sous la tente », ce qui a laissé penser que les origines de l'État assyrien étaient à rechercher dans le monde nomade. » par un prêtre suivant le souverain[112]. Kalkhu (Nimroud) au VIIIe siècle : centre politico-religieux sur le tell de Nimroud, et arsenal, le « Fort Salmanazar » (tell ʿAzar), surplombant la ville basse qui s'étend au nord. Pendant longtemps pourtant, des troubles graves sont causés par la noblesse et les villes de l'Assyrie, notamment au IXe et au VIIIe siècles, mais elles sont cependant mises au pas après le règne de Teglath-Phalasar III[103]. Un exemple de palais de province a été retrouvé à Til Barsip, dans la région du Khabur. De nombreux textes de tels traités datant de la période néo-assyrienne ont été mis au jour dans les capitales assyriennes[158]. Le terme « Assyrien » ne commence à servir à désigner les Chrétiens originaires des territoires correspondant à l'ancienne Assyrie qu'à compter du milieu du XIXe siècle, d'abord chez des auteurs et missionnaires anglais, puis il est adopté par les populations concernées qui se désignent dès lors principalement par le terme « Assyrien » ʾāthorāyā et développent une identité nationale « assyrienne »[94]. Les marchands importent aussi en Anatolie des pièces de tissus fabriquées par leur famille restée à Assur (avant tout des femmes[36]) ou bien importées de Mésopotamie du sud[37]. De la même période, un bas-relief mis au jour dans un puits d'Assur représente le dieu Assur tenant deux branches que broutent des caprins, entre deux divinités aux vases jaillissants[302]. La grande majorité des textes cunéiformes exhumés en Assyrie transcrivent la langue « assyrienne », qui est un dialecte de l'akkadien, terme par lequel on désigne la langue du groupe occidental des langues sémitiques parlée en Mésopotamie dans l'Antiquité[261]. La situation interne de l'empire n'en est pas stable pour autant. Le Recensement de Harran mentionne aussi la présence de vergers[215]. De nombreuses révoltes s'y produisent, dirigées par des Babyloniens de souche, des Chaldéens (dont la figure la plus importante est Merodach-baladan II), soutenus par les Élamites. Les types de divination les plus attestés sont l'hépatoscopie ou haruspicine, qui consiste à lire l'avenir dans les entrailles de moutons, l'astrologie qui lit l'avenir dans les phénomènes astraux et célestes, pratiqués par des devins spécialistes de la cour royale ou en contact avec celle-ci[282]. Ce sont des textes administratifs enregistrant les opérations d'un grand organisme ou d'une famille, ou des documents juridiques comme des contrats de vente, de prêt, de correspondance, etc. Pour être à la hauteur de sa fonction, le roi doit développer des qualités de guerrier, ce qui explique pourquoi il est mis en valeur dans les récits et les images de campagnes mais aussi des chasses royales[100]. À partir du XIVe siècle, l'Assyrie devient une puissance politique qui se constitue en vaste État territorial en quelques décennies, et s'organise de façon flexible autour de provinces contrôlées de manières plus ou moins directes, de royaumes vassaux, parfois séparés par des régions peu occupées[154]. J.-C. La troisième période voit l'Assyrie se muer en un empire, grâce notamment à sa redoutable armée. Divers métaux sont échangés : le cuivre, l'étain, l'or, l'argent, le fer. Là encore, ces pratiques religieuses nous sont connues parce qu'elles sont utiles à l'exercice du pouvoir royal, et la religion populaire nous échappe. FLUX 2 Smart. Pourtant, Teglath-Phalasar et ses premiers successeurs réussissent à maintenir leur contrôle sur des forteresses et d'autres établissements situés loin du centre de leur royaume, sur le Moyen-Euphrate au sud (Khirbet ed-Diniye/Haradu) et sur le Haut Tigre au nord (Giricano/Dunnu-sha-Uzibi), et c'est peut être de cette période qu'il faut dater l'apogée territorial du royaume médio-assyrien[59]. Dès l'époque médio-assyrienne, la vie de la cour royale est très codifiée, l'accès au roi étant limité. Palais nord de Ninive, British Museum. British Museum. Tablette racontant le mythe du Déluge de l'Épopée de Gilgamesh (onzième tablette de la version ninivite). L'art assyrien dont on peut parler est donc un art impérial, essentiellement au service du pouvoir, marqué par des influences cosmopolites se nourrissant des traditions de différentes régions de l'empire d'où provenaient probablement une partie des artisans à l'origine des œuvres connues, quand celles-ci ne sont pas tout simplement des importations destinées à des élites assyriennes développant un goût prononcé pour certains produits exotiques comme les ivoires syro-phéniciens. On trouvait également des frises plus petites représentant des motifs géométriques ou des rosaces, palmettes, fleurs, parfois agrémentées d'animaux ou de génies. Les origines de la royauté assyrienne sont donc mal connues. On notera au passage la sévérité caractéristique de ce corpus de lois. On a pu ainsi proposer l'existence de problèmes démographiques au cœur de l'empire, dominé par les grands centres urbains que sont Ninive, Assur et Kalkhu, qui paraissent trop importants pour les capacités d'une région qui n'a jamais été fortement urbanisée, et qui est d'ailleurs en partie peuplée de manière artificielle, par les déportations qui ont dû déstabiliser sa société. Pour soumettre les villes ennemies, les Assyriens ont développé la poliorcétique, une nouvelle fois bien connue grâce aux bas-reliefs[146]. Pour la Saint Valentin, GoDeal24 propose plusieurs promotions sur des logiciels Microsoft, dont des offres spéciales « couple » avec deux logiciels. Mais sa position excentrée par rapport aux grands centres politiques lui permit de préserver son indépendance, son roi Puzur-Assur regagnant son autonomie lors de l'effondrement du royaume d'Ur vers 2010 av. In neo-romantic and fantasy art one can often see the elements of Victorian aesthetic values. Un militaire assyrien du nom de Assur-uballit II tente de résister, et se réfugie à Harran, d'où il espère combattre les Mèdes et les Babyloniens avec l'aide de l'Égypte. Traditionnellement, l'habitat urbain de la Haute Mésopotamie, Assyrie incluse, est organisé autour d'une ville haute située sur un tell dominant une extension plus récente, la ville basse[232]. Ces deux parties partagent le pouvoir politique et judiciaire, et les ordres officiels sont proclamés en leurs deux noms[28]. En somme, on a ici ce qui semble être un très bon milieu de gamme. Cliquez sur une vignette pour l’agrandir. S'il est possible que la primogéniture ait été la règle de succession théorique[110], dans les faits la désignation du successeur est de plus en plus dépendante de la volonté du souverain à la période néo-assyrienne. Le souverain est également considéré comme le « grand prêtre » (šangû) du dieu, ce qui implique également qu'il soit l'administrateur de son domaine[99]. Le système réalisé autour de Ninive au temps de Sennachérib en est l'illustration la plus remarquable[201]. Cette coalition scelle le destin de cette dernière. Lion, « Jardins et zoos royaux », dans, N. Ziegler, « Effectifs de l'armée », dans, B. Lafont, « Hiérarchie militaire », dans, F. Joannès et X. Faivre, « Pillages », dans, F. Joannès et N. Ziegler, « Nomades », dans, F. Joannès, « Administration des temples », dans, L. Battini, « Les maisons néo-assyriennes », dans. En considérant de plus en plus les gens comme de simples sujets au service du royaume sans distinction juridique précise, le pouvoir royal rend la fortune et la puissance de plus en plus dépendantes des fonctions et des faveurs qu'il concède. Certains soldats de rang plus élevé ont leur propre domaine qui leur est concédé pour leur permettre d'entretenir leur équipement. Parce que ce sont ses aspects les plus arbitraires et brutaux qui sont les plus visibles dans nos sources, la domination assyrienne sur les territoires soumis paraît se faire largement aux dépens de ces derniers, surtout à l'époque néo-assyrienne. Assurnasirpal II fait donc réaliser des bas-reliefs commémorant ses victoires en Syrie dans sa salle du trône[298], tandis qu'à partir de Sargon II chaque salle commémore une campagne complète, pratique qui se retrouve dans les palais de Ninive, avec les exemples spectaculaires du siège de Lakish par Sennachérib dans la salle no XXXVI du « palais sud-ouest » et de la campagne d'Élam d'Assurbanipal dans la salle no XXXIII du même édifice. Recent productions of neo-Victorianism on screen include Guy Ritchie’s Sherlock Holmes films and TV series such as Sherlock, Ripper Street, Whitechapel, Murdoch Mysteries and Penny Dreadful . L'art des régions périphériques est parfois inspiré par celui des Assyriens[169]. Ce sont les fouilles de ces édifices qui ont été effectuées à partir du XIXe siècle qui nous ont permis de redécouvrir et de bien connaître l'histoire et le fonctionnement de l'Empire assyrien. J.-C. Les anciennes cités assyriennes connaissent alors un renouveau, redeviennent prospères, accueillent une administration : cela concerne Assur, Ninive et Arbelès[91]. En 1903, c'est au tour des Allemands de fouiller la dernière capitale assyrienne non dégagée, Assur, sur le tel de Qala'at Shergat, avec des méthodes archéologiques scientifiques et non plus rudimentaires et improvisées comme précédemment[5]. D'autres fonctions palatiales sont confiées à des eunuques (ša rēši). Les gens pouvaient être classés de différentes façons, que ce soit en fonction du degré de liberté dont ils disposaient, de leur rôle économique, voire de leur provenance géographique[171]. Ce sont des acteurs essentiels de la vie économique, qui possèdent des terres, des ateliers, montent des expéditions commerciales, et emploient un personnel divers et nombreux (scribes administrateurs, travailleurs libres ou non libres), rétribué par des rations ou l'attribution de terres en bénéfice. Learn how and when to remove these template messages, Learn how and when to remove this template message, List of 19th-century British children's literature titles, "Matthew Sweet: Inventing the Victorians", https://en.wikipedia.org/w/index.php?title=Neo-Victorian&oldid=1001454850, Self-contradictory articles from January 2018, Wikipedia introduction cleanup from June 2020, Articles covered by WikiProject Wikify from June 2020, All articles covered by WikiProject Wikify, Articles with multiple maintenance issues, Articles needing additional references from January 2013, All articles needing additional references, Creative Commons Attribution-ShareAlike License, This page was last edited on 19 January 2021, at 19:21. Les fouilles se sont essentiellement concentrées sur les quartiers centraux des grandes capitales, et quasiment pas sur les espaces résidentiels. À cela s'ajoutent les opérations de prospection au sol et plus récemment l'utilisation de prospections par satellite, qui ont permis notamment le développement d'une archéologie des paysages assyriens[12],[13]. Le début du XIVe siècle marque le commencement d'une nouvelle phase de l'histoire assyrienne, avec la constitution d'une puissance politique qui acquiert au fil des siècles un poids croissant dans le concert international du Moyen-Orient. L'usage de la peinture devait avoir été privilégié car cette technique était moins coûteuse que la sculpture sur orthostates. Il disparaît rapidement, dans des circonstances indéterminées. On peut distinguer plusieurs types de corpus de textes de ce type : Les textes de bibliothèque peuvent être classés dans plusieurs catégories ; ils constituent une source essentielle de notre connaissance sur les pratiques scientifiques et religieuses de l'ancienne Mésopotamie. Plusieurs conflits se produisent, marqués par des moments de grande violence. Ce vent qui a soufflé contre toi, ne lui ai-je point brisé les ailes ? Les zones montagneuses qui bordent ces régions sont plus froides et humides en hiver, mais sèches en été ; on y trouve du bois d'œuvre tiré de conifères comme les cèdres ou les pins qui y poussent. Enfin, une description de l'aspect des courtisans assyriens serait incomplète si l'on ne mentionnait pas l'usage dont ils faisaient de différents parfums tirés d'essences de diverses plantes (cèdre, cyprès, myrrhe), et de produits cosmétiques, le plus souvent cité dans les textes étant le gulḫu, le khôl, qui sert à farder le contour des yeux[322]. À partir de ces sources, plusieurs voyageurs européens avaient essayé de retrouver les capitales de l'ancienne Mésopotamie au XVIIe et XVIIIe siècles. Elles disposent d'espaces de vie réservés et dont l'accès était contrôle, attesté dans les différents les palais assyriens, qui peuvent être caractérisés comme des « harems » en raison de leurs nombreuses similitudes avec ces institutions connues pour des périodes plus tardives[125].