navette spatiale nom


L'ensemble de ces vérifications prend théoriquement 6 jours[52]. Sur le côté, deux postes latéraux sont dédiés au contrôle des charges utiles et de la navette. Après ouverture des portes de la baie cargo, la charge utile de la mission qui vient de s'achever est retirée. La pente de la descente est diminuée progressivement jusqu'à ce qu'elle soit ramenée à 1.4° lorsque l'orbiteur est parvenu à l'altitude de 25 km. Le moteur est monté sur cardan et l'axe de la poussée peut être orienté de ±10.5° en tangage et de ±8.5° en lacet. La recherche dans le domaine de la microgravité est un autre thème important des missions de la navette. Information and translations of navettes spatiales in the most comprehensive dictionary definitions resource on the web. Pour pouvoir résister aux très fortes pressions et températures, trois joints assurent l'étanchéité entre les segments. Meaning of navettes spatiales. La NASA a construit cinq orbiteurs opérationnels. le renforcement des trains d'atterrissage pour permettre à la navette d'atterrir au centre spatial Kennedy, l'installation du sas et du système d'amarrage dans la baie cargo pour que la navette puisse s'amarrer à la station spatiale, l'augmentation de la puissance maximale des moteurs, Opérations d'assemblage et de ravitaillement des stations spatiales. Progressivement, la durée des vols s'allonge pour permettre de tester complètement la phase d'approche et d'atterrissage. Pour tenir compte des nouvelles contraintes financières, la NASA décide en juin 1971 d'opter pour un réservoir externe non réutilisable. Les dirigeants de la NASA estiment également que la navette peut permettre de remplacer les dix types de lanceurs américains alors existants — en comptant ceux mis en œuvre par l'Armée — pour placer en orbite ses satellites. Avec environ 10,4 tonnes d'ergols dans chaque nacelle et une charge utile de 29 500 kg, les deux moteurs peuvent fournir à la navette un delta-v total d'environ 300 m/s, dont environ la moitié est utilisée pour placer la navette en orbite[33]. Neuf opérateurs de télécommunications internationaux acceptent d'emblée l'offre de la NASA. En forme d'avion à aile delta, il est long de 37 m et possède une envergure de 24 m. Son fuselage comprend à l'avant une cabine pour l'équipage (jusqu'à 7 astronautes), au centre une vaste soute de 4,5 m de diamètre et de 18 m de longueur, pouvant accueillir des charges utiles d'une masse allant jusqu'à 29,5 t, et, à l'arrière, les trois principa… Spacelab a participé à 22 missions de la navette ; la dernière mission est STS-90 en 1998. L'évacuation n'est possible que si la vitesse de l'orbiteur est inférieure à 426 km/h et l'altitude inférieure à 10 km. Chaque moteur brûle environ 423 kg d'oxygène liquide (LOX) et 70 kg d'hydrogène liquide (LH2) par seconde lorsque le moteur est à pleine puissance. Or, la Californie, qui concentre une grande partie des emplois de l'astronautique avec 370 000 personnes en 1970, est un enjeu important pour les élections à venir[10]. Pour pouvoir déplacer la navette — désormais non motorisée — entre deux sites, la NASA fait l'acquisition en 1974 d'un Boeing 747 d'occasion, qui est aménagé pour pouvoir transporter sur son dos le véhicule spatial. La navette peut effectuer une ou deux corrections selon sa mission pour se placer en orbite : la première effectuée typiquement 2 minutes après l'extinction des moteurs principaux, permet à la navette de gagner son apogée cible, la seconde circularise l'orbite. Pour éviter tout déploiement prématuré qui aurait des conséquences catastrophiques (par exemple, l'ouverture des portes durant la phase de rentrée atmosphérique créerait une brèche dans le bouclier thermique, entraînant la destruction de la navette), celui-ci est obligatoirement déclenché manuellement par l'équipage. Le programme laissera en héritage Ariane 5, le nouveau lanceur phare européen, ainsi qu'un cockpit et deux maquettes de la navette grandeur nature. La construction de la première navette, Enterprise, est achevée en mars 1976, mais celle-ci ne sera pas utilisée en phase d'exploitation car trop lourde. Dans des conditions normales, le train met environ dix secondes à se déployer, aidé par son poids et le vent relatif qui lui permettent de se verrouiller en position basse[39]. Mais il apparaît rapidement que la navette ne sera jamais un moyen de lancement concurrentiel par rapport aux fusées, car la cadence des lancements espérée ne peut être tenue. Une navette spatiale, dans le domaine de l’astronautique, désigne conventionnellement un véhicule spatial pouvant revenir sur Terre en effectuant un atterrissage contrôlé à la manière d'un avion ou d'un planeur et pouvant être réutilisé pour une mission ultérieure. La navette aurait dû décoller sur une Soyouz modifiée, ce qui aurait permis d'envisager des lancements depuis le cosmodrome de Baïkonour au Kazakhstan, Plessetsk et Vostochniy en Russie, et Kourou, en France. La navette spatiale est le seul engin spatial capable de ramener des satellites sur Terre. Abandon de l'orbiteur (Contingency abort CA) : Si plus d'un SSME est en panne ou qu'un autre composant jouant un rôle essentiel a une défaillance, la navette ne peut choisir une nouvelle trajectoire lui permettant de se poser sur une piste, ni se mettre en orbite : un plan de secours (Emergency abort) est mis en œuvre et l'équipage doit évacuer l'orbiteur. Le terme « navette spatiale » s'applique uniquement à l'orbiteur, qui revient se poser comme un planeur sur une piste d'atterrissage et peut être réutilisé pour un nouveau vol. Ce programme de vol est actualisé au fur et à mesure de l'avancement de la mission en 9 groupes : par exemple le premier correspond à la phase de vol propulsé. Le lancement de ces derniers très coûteux a été lui-même confié progressivement à des lanceurs classiques et la dernière mission de la navette à avoir lancé un satellite est le vol STS-93 qui place en orbite le télescope spatial Chandra au cours de l'été 1999. L'orbiteur est ensuite déplacé jusqu'à l'immense bâtiment d'assemblage construit pour les fusées Saturn V du programme Apollo et dont deux baies sont dédiées à la préparation en parallèle des navettes. Des caméras spéciales permettent de détecter ce type de situation. Les trains sont déverrouillés et déployés par un système hydraulique à triple redondance, les portes étant reliées mécaniquement aux jambes de force de chacune des roues. Une navette de ce type dispose d'une capacité de déport intermédiaire entre l'aile droite et l'aile delta, tout en étant théoriquement moins lourde que cette dernière. Ελέγξτε τις μεταφράσεις του "navette spatiale américaine" στα Ελληνικά. La propulsion des navettes spatiales diffère énormément en fonction des modèles. James C. Fletcher prend en avril 1971 la tête de la NASA et décide de promouvoir auprès du Sénat le dossier de la navette spatiale, qui est bloqué. Possibilité de monter à onze personnes pour une mission d'urgence. Présentation des caractéristiques techniques de la navette. Les navettes spatiales sont alimentées en énergie électrique par trois piles à combustible Hydrox, fabriquées par Power System[48]. D'importants travaux sont entrepris, en particulier sur les boosters, mais également sur les moteurs de l'orbiteur pour réduire celui-ci. Un autre exemplaire était prêt pour le vol, OK 1.02, ou Burya ("Буря", "tempête de neige"), mais ne décolla jamais, à cause du manque de moyen causé par la chute de l'URSS. À cinq reprises (STS-41-D, STS-51-F, STS-55, STS-51, STS-68), le lancement d'une mission a dû être interrompu à la suite de la détection d'une défaillance d'un moteur quelques secondes avant le décollage, alors que les moteurs de la navette avaient été allumés. Le système médical des navettes spatiales (SOMS, Shuttle Orbiter Medical System) permet aux astronautes de se soigner en cas de maladie ou de petites blessures. Derrière le pilote s'installent deux spécialistes de mission. Sa vitesse est alors de 3,7 km s−1. Mais cette solution nécessite de rapatrier ensuite l'orbiteur à l'aide d'un des deux Boeing 747 porteurs de la NASA ce qui engendre un certain risque, un surcoût important et de plus accroît le délai de remise en condition de l'orbiteur. L'aile en double delta est introduite à ce stade car elle améliore les capacités de vol à basse vitesse ; de plus elle permet, par des interventions limitées sur le dessin de sa partie avant, de compenser des problèmes de position de centre de gravité qui pourraient apparaître à un stade avancé du développement. À ces deux niveaux s'ajoutent une soute (lower-deck). Le propergol, moulé dans l'enveloppe, se présente sous la forme d'un bloc de poudre de 469 tonnes qui contient, intimement mélangés, le comburant (du perchlorate d'ammonium), le carburant (de la poudre d'aluminium) ainsi que d'autres composants sous forme de trace. Le pilote adopte des angles de roulis plus ou moins accentués : le pilote peut ainsi à la fois ajuster la longueur de la trajectoire restante en ralentissant (en effectuant des S) ou accélérant (route rectiligne) et déporter la trajectoire vers la droite ou la gauche lorsque la piste ne se trouve pas dans le prolongement de l'orbite. Le cockpit sera par la suite brûlé par l'aéroport qui l'hébergeait, une des deux maquettes disparu, et la dernière fut stockée en morceaux dans un hangar du Musée du Bourget, dans l'attente d'une rénovation. Les astronautes sont entraînés à évacuer la navette et à descendre rapidement à l'aide d'une nacelle jusqu'à un blockhaus situé à proximité[58]. La première mission permet de sauver le télescope spatial incapable de fonctionner à la suite d'une erreur de conception. Le fuselage intermédiaire contient la baie cargo et relie la partie avant de l'orbiteur, la partie arrière et les ailes. La piste d'atterrissage de Kennedy a une longueur de 4,5 km et une largeur de 91 mètres. Il constate que le seul moyen d'obtenir un accord sur le sujet est d'intégrer dans le cahier des charges de la navette les besoins très spécifiques des militaires, afin d'obtenir l'appui de ceux-ci. Le poste de pilotage peut accueillir quatre personnes. Le budget économisé par l'arrêt de la navette doit permettre de financer le nouveau projet. Du côté américain, sept navettes dont cinq destinées au vol orbital ont été construites. Pour une mission avec une inclinaison de 57° à destination de la station spatiale internationale deux aéroports situés en Europe ont été sélectionnés : la base aérienne américaine de Moron près de Séville en Espagne et la base aérienne d'Istres dans le sud de la France. Le véhicule, qui est également un héritage du programme Apollo, est équipé d'un système de vérins qui maintient la navette à la verticale lorsque l'ensemble doit gravir la rampe de 5 % qui mène au pas de tir. En tout douze navettes à l'échelle furent construites, dont six étaient des modèles d'essais au sol, une, OK-GLI étaient équipées de deux moteurs d'avions pour effectuer des vols suborbitaux, et cinq étaient destinées au vol spatial. L'espace mémoire restant contient des programmes de réserve et d'autres données. L'une des modifications les plus importantes est l'abandon des turboréacteurs qui devaient propulser l'orbiteur avant l'atterrissage. La navette place également en orbite le premier satellite de télécommunications de la série TDRS, qui doit remplacer les stations au sol de la NASA. Le réservoir externe est progressivement allégé au fur et à mesure de son développement, ce qui permet un gain de poids de 4,5 tonnes. Au début de la phase opérationnelle du programme de la navette spatiale, la principale mission de celle-ci est de mettre en orbite les satellites. La masse à vide est de 63 tonnes[51]. Celles-ci après avoir été larguées dans l'espace au début du vol furent récupérées par le bras Canadarm en fin de vol. Sur les orbiteurs plus récents (Discovery, Atlantis et Endeavour), pour certains éléments, le graphite-époxy remplace l'aluminium afin d'alléger la masse. La décision de retrait de la navette découle en grande partie de ce constat. Par ailleurs avant le décollage, les 2 000 tonnes de l'ensemble composé par la navette, le réservoir et les propulseurs reposent entièrement sur les propulseurs. Le X-15 permet d'explorer les domaines physiques d'une grande partie des phases de vol effectuées par la navette spatiale, en particulier la rentrée atmosphérique, avec la transition entre l'utilisation des moteurs-fusées et celle des gouvernes aérodynamiques[3]. Grâce à ses ailes, l'orbiteur peut ainsi se poser sur une piste située à 1 800 km sur la droite ou la gauche d'une trajectoire rectiligne[66],[67]. Lorsque le propulseur est allumé la surface interne du bloc de poudre côté canal se met à brûler et produit des gaz chauds qui sont expulsés à grand vitesse par la tuyère en générant une poussée de 1 246 tonnes. La navette spatiale devait abaisser le risque couru par les astronautes au même niveau que celui des passagers des avions. Une enquête est menée par un comité d'experts créé pour découvrir les causes de l'accident, le Columbia Accident Investigation Board (CAIB)[24],[25]. À chaque mission, une inspection détaillée du bouclier thermique est effectuée par l'équipage de l'orbiteur et de la station spatiale lorsqu'il est en orbite. Le compte à rebours commence 47 heures avant le lancement par une vérification générale des systèmes et des logiciels de vol par les opérateurs installés dans l'une des salles de lancement. Les atterrissages n'ont repris à Kennedy qu'en 1991 après des travaux d'aménagement de la piste (allongement, reprise du revêtement) et des modifications au niveau du train d'atterrissage, des pneus et des freins des orbiteurs. Le premier étage, piloté, revient se poser en utilisant des turboréacteurs classiques. Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Une partie est installée lorsque l'orbiteur est à l'horizontale dans l'OPF, le reste l'est sur le pas de tir. Deux autres baies sont utilisées pour garer les orbiteurs et stocker du matériel. Pour réduire les contraintes thermiques et mécaniques subies par un avion volant à très grande vitesse, une des solutions est de supprimer les ailes et de produire la portance à l'aide du corps de l'engin, qui est élargi et profilé à cet effet. 5 janvier 1971 Le président Nixon donne son accord … Les modules non russes ne disposent ni d'une propulsion autonome ni de système de contrôle d'orientation et ne peuvent donc s'amarrer eux-mêmes à la station. Ce sera le programme Constellation. Au cours de son ascension, il se sépare successivement de ses propulseurs d'appoint, puis de son réservoir externe. Le moment du déclenchement est fixé de manière que la trajectoire amène la navette avec la bonne vitesse jusqu'à la piste d'atterrissage choisie. Le satellite LDEF, qui emporte 50 expériences, sera ramené sur Terre 5 ans après avoir été placé en orbite. La navette spatiale russe. La force motrice utilisée pour orienter les tuyères est fournie par deux systèmes hydrauliques redondants dont la source d'énergie est un moteur consommant de l'hydrazine. Columbia et Challenger ont été détruites en mission. Tous ces moteurs utilisent les mêmes ergols que les moteurs de manœuvre orbitale, mais avec des réservoirs qui leur sont propres, répartis entre les trois emplacements[34]. Mais les rabais consentis masquent une réalité financière particulièrement noire. L'orbiteur est hissé à la verticale à près de 100 mètres de hauteur à l'aide de deux ponts roulants de 200 tonnes puis abaissé pour être boulonné au réservoir externe. Il dispose, comme le réservoir d'oxygène, d'un évent pour réduire si nécessaire la pression engendrée par l'évaporation constante de l'hydrogène[49]. North American Rockwell — renommé Rockwell en 1973[N 2] — est finalement retenu le 26 juillet 1972, pour un montant de 2,6 milliards de dollars : pour ce prix, la société doit construire deux orbiteurs opérationnels et un modèle de test, ainsi que jouer le rôle d'intégrateur pour l'ensemble de la navette. Trois sièges y sont installés lors du décollage et de l'atterrissage pour les spécialistes de charge utile. Les trois moteurs-fusées dits SSME (Space Shuttle Main Engines), situés à l'arrière de l'orbiteur, sont chargés avec les propulseurs d'appoint à poudre de produire la poussée qui permet de placer la navette en orbite. L’Enterprise fut un démonstrateur et n'est jamais allé dans l'espace. À l'époque, la navette dispose par décret d'un monopole sur le marché américain des lancements des satellites publics, civils et militaires, ainsi que des satellites privés. La navette utilise ses moteurs de correction orbitale (OMS) pour ne pas subir le même sort et se placer sur l'orbite visée. Merci pour avoir écouté ma présentation La navette spatiale Qui a bâtis la première Le sas se présente sous la forme d'un cylindre vertical en sandwich d'aluminium. Néanmoins, à cette époque, l'URSS n'a jamais expérimenté la récupération de véhicules de type navette spatiale, et c'est dans ce but qu'elle lance le programme expérimental de navettes BOR ("БОР" en russe). Des plateformes mobiles sont alors mises en place pour permettre de travailler sur la navette. Voici une liste de différents projets qui ont été développés : Malgré la réussite de Space Ship One, d'autres équipes privées continuent leurs recherches pour développer un véhicule spatial réutilisable, dans l’espoir d’un développement commercial du tourisme spatial sub-orbital. Læs mere En concevant au début des années 1970 un engin spatial réutilisable, la NASA espère pouvoir abaisser fortement les coûts du lancement spatial, qui a jusque-là recours à des fusées perdues après usage. Grâce à sa grande flexibilité, la navette est l'instrument idéal pour assembler une station spatiale et la ravitailler. Elle permet également d'accéder aux nacelles des moteurs[52]. Si aucun problème n'est détecté durant le compte à rebours, les SSME sont allumés à T-3 secondes. Afin de s'assurer qu'ils supporteront le poids de la navette à 450 km/h, ils subissent des tests intensifs chez le fabricant, avant d'être inspectés aux rayons X et de subir d'autres tests complets à la NASA. Les liaisons mécaniques et électriques entre les trois composants de la navette sont vérifiés et testés. Deux motoristes, Rocketdyne et Pratt & Whitney, sont de leur côté sélectionnés pour concevoir les moteurs de 270 tonnes de poussée (dans le vide), qui doivent être communs aux deux étages de la navette. Discovery, qui effectue sa dernière mission STS-133 en atterrissant au Centre spatial Kennedy le 9 mars 2011, doit ensuite être exposée au National Air and Space Museum à Washington. Plusieurs propositions sont élaborées en interne, dans l'euphorie de la réussite du programme lunaire : station spatiale, base lunaire, expédition vers Mars, navette spatiale[7]. Pour ceux que sa intérèsserais voici la signification du nom des navettes américaines: Pour Columbia: Nom d'un navie commandé par le Capitaine Robert Gray.En 1792, Gray et son équipage manoeuvra "Columbia" au delà des banc de sables à l'embouchure s'étendant à travers ce qui est aujourd'hui la Colombie Britanique. Au centre, plusieurs écrans fournissent aux pilotes des informations sur le remplissage du réservoir externe et le temps écoulé depuis le décollage. De plus, le calendrier très serré de l'assemblage de la station spatiale internationale, qui résulte de la réduction de budget imposé à la NASA depuis 2001, a conduit à une pression très forte sur l'ensemble du personnel de la NASA, poussant à sous-estimer les risques encourus. Tous les éléments de la charge utile sont vérifiés, conditionnés et installés au centre spatial Kennedy. Lorsque les vols reprennent en juillet 2005, après dix-huit mois d'interruption, plusieurs mesures ont été décidées pour limiter le risque. Il doit être construit à Palmdale, en Californie. L'engin doit pouvoir placer sur une orbite de 500 km une charge utile de 6,8 tonnes au départ de la base de lancement de Cap Canaveral pour une inclinaison de 55°. La perche doit le guider au début de son saut et lui permettre d'éviter d'être happé par l'aile de l'orbiteur. Ex : fille - nf > On dira "la fille" ou "une fille". Généralement, les petites navettes spatiales de type Dream Chaser, Hermès ou Space Rider ont de petits moteurs orbitaux permettant certaines manœuvres ou encore leur désorbitation. Les trois piles produisent en continu un maximum de 21 kW, avec la possibilité d'encaisser un pic de puissance de 36 kW pendant un quart d'heure. Le premier vol non propulsé de la navette a lieu le 12 août 1977 : la navette est larguée du dos du 747 et effectue un vol plané de cinq minutes avant de se poser sur une piste de la base Edwards. Le bouclier thermique de la navette est en grande partie constitué de tuiles en céramique collées sur la structure en aluminium. Celui-ci spécifie que la navette doit comporter deux étages, qui décollent verticalement et atterrissent à l'horizontale. 29 janv. La navette effectue un tonneau pour présenter le ventre de l'orbiteur vers le ciel : dans cette position les moteurs peuvent maintenir une incidence négative en limitant la pression aérodynamique sur les ailes de l'orbiteur. En étudiant la conception d'engins beaucoup plus rapides et volant à haute altitude, les ingénieurs identifient rapidement les deux principales difficultés auxquelles un tel avion va être confronté : l'instabilité en vol atmosphérique et la dissipation de la chaleur au cours de la rentrée atmosphérique. Rocketdyne est choisi fin mars 1972 pour la construction des moteurs principaux (SSME) de l'orbiteur[13],[14]. L'orbiteur ainsi que les propulseurs d'appoint sont remis en état puis réutilisés, alors que le réservoir est détruit après avoir été séparé de l'orbiteur. Pour le comité de sélection de la NASA, la proposition du premier se distingue par son coût plus faible, le poids réduit de l'orbiteur et un bon dispositif de gestion de projet, tandis que celle de Grumman est la plus pertinente et détaillée sur le plan technique. Voir plus d'idées sur le thème navette spatiale, astronomie, vaisseau spatial. Le prototype Enterprise est exposé à l'Intrepid Sea-Air-Space Museum de New York[27],[28],[29]. Interruption avec une orbite bouclée (Abort Once Around AOA) : Ce scénario s'applique lorsque l'orbiteur est capable d'atteindre une orbite mais ne pourra s'y maintenir par la suite, car celle-ci est trop basse. Parmi elles, l'envoi de charges utiles importantes en orbite (satellite civils, institutionnels ou militaires, modules de stations spatiales, missions scientifiques...), d'équipage nombreux en orbite (jusqu'à 10 personnes pour la navette soviétique Buran), de cargo vers les stations spatiales (ISS ou Mir) ou doit également permettre le retour sur Terre de satellites en vue de leur réutilisation. Seuls les satellites militaires, scientifiques ou gouvernementaux sont pris en charge. La dernière mission consacrée uniquement à la recherche est la mission STS-107 de la navette Columbia qui explosera au cours de la rentrée atmosphérique. Ceci est la documentation du modèle {{Palette Navette spatiale Atlantis}}.. Syntaxe. La NASA décide alors de concentrer ses demandes budgétaires sur le projet de navette spatiale, car la disponibilité de celle-ci est un prérequis pour l'exploitation d'une station spatiale. Les propulseurs d'appoint sont également conçus pour être réutilisables. Un parachute destiné à réduire la distance d'arrêt a été installé dans la queue des navettes. La définition de cette stratégie est dictée par deux motivations : Reprenant la démarche du président Kennedy, le président Bush demande à la NASA d'élaborer un programme qui permette de réaliser des séjours de longue durée sur la Lune d'ici 2020. Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre. Leur fermeture est essentielle avant la rentrée atmosphérique, car dans cette position elles contribuent à la rigidité de la navette[31]. Les navettes plus grandes, comme Buran, possédaient des moteurs orbitaux plus importants lui permettant d'effectuer des manœuvres longues et complexes. Il a 6 navettes construises depuis 1976 Premier vols de la navette spatiale Enterprise,Columbia,Challenger, Discovery,Atlantis et Endeavour. Dans les esquisses produites par les quatre sociétés, la navette comporte deux composants distincts, tous deux réutilisables. Elles doivent pouvoir être remises en état en deux semaines entre deux vols et permettre une fréquence comprise entre 25 et 70 vols par an. L'opérateur dispose de plusieurs hublots donnant sur la soute. Avant le premier vol de Bourane, l'URSS possédait déjà une grande expérience des navettes spatiales grâce au programme BOR. L'élément principal de la navette est l'orbiteur. Преглед на milions думи и фрази на всички езици. Mikoyan-Gourevitch MiG-105 Spiral au musée des forces aériennes de la Fédération de Russie. Pour se diriger, l'IXV dispose d'un système de RCS, des propulseurs à gaz froid, et également de deux panneaux inclinable pour se diriger dans l'atmosphère terrestre. navette spatiale nf nom féminin: s'utilise avec les articles "la", "l'" (devant une voyelle ou un h muet), "une". La cabine dans laquelle séjournent les astronautes est une structure pressurisée indépendante, qui est accrochée à la superstructure de l'orbiteur en seulement quatre points, afin de limiter les échanges thermiques. L'hydrogène est transféré par une canalisation de même diamètre avec un débit de 211 kilogrammes par seconde. Les missions habitées américaines sont interrompues jusqu'au premier vol de la navette, qui n'interviendra qu'en 1981[5]. Il s'agit d'un corps portant de 5 mètres de long, dépourvus d'ailes. Le transport du fret et des astronautes est confié à des lanceurs classiques. La NASA a tenté par la suite d'adopter un rythme plus réaliste pour la fréquence de ses vols. En avril 2011, le responsable de la NASA Charles Bolden annonce que la navette Atlantis sera exposée au Kennedy Space Center Visitor Complex, qui jouxte le centre spatial d'où se sont envolées toutes les navettes et où sont déjà présentés les principaux lanceurs américains.